Mais venue aujourd’hui chanter pour toi Et te tresser des louanges Je ne suis pas à la hauteur du moindre de tes enfants ni du dernier des poètes ». « Jérusalem d’or » Naomi Shemer Jérusalem n’est plus une capitale. Jérusalem est l’essence même de l’existence nationale juive. Elle a trois mille ans, deux mille ans de nostalgie, d’espoir, de sainteté, de serments entre les mariés, de sang, de sueur et de larmes. Il n’y a pas de judaïsme, et encore moins un État juif, sans Jérusalem. Jérusalem « ne se divise pas entre les tribus » « De toutes les tribus, tout Israël est inclus dans Jérusalem », traité Avot de Rabbi Nathan. « Jérusalem ne se divise pas entre les tribus », Talmud de Babylone, traité Yoma. Contrairement aux autres villes d’Israël, y compris les plus importantes, seule Jérusalem est le foyer de l’identité, son horizon et ce qui donne sens à l’État d’Israël. Jérusalem appartient à la nation tout entière, pas seulement à ses habitants. Par 234 Par exemple, Israël appellera le gouvernement chinois à arrêter de tuer les prisonniers pour leur prélever des organes, un phénomène qui selon une annonce de la Chambre des représentants américaine du 13/06/16 se poursuit. Afrique. Ce 235 Aujourd’hui, il s’agit principalement d’exportations en matière militaire d’Israël vers l’représente quelques pour cent de nos exportations de défense, qui servent non pas à pour protéger l’État, mais à dominer et à réprimer en interne. 236 Les exportations d’armes vers des régimes autoritaires sont en partie le résultat de « l’alliance » israélienne avec l’industrie des armes américaine qui nous oblige à commercer avec des pays sans que cela menace l’hégémonie américaine sur le marché mondial des armes. En nous libérant de l’emprise de l’industrie américaine, nous pouvons donc faire le commerce des armes avec d’autres pays. Par exemple, l’interdiction des États-Unis d’exporter les missiles d’interception d’Israël en Pologne, alliée des Etats-Unis, a conduit la Pologne à acheter des missiles de ce type aux États-Unis. Conséquent, contrairement à d’autres villes, la nation, à travers ses représentants, a le pouvoir et le devoir de participer à sa planification et à sa mise en forme. Dans les limites de la planification nationale de la ville seront conservées toutes les règles de la liberté d’entreprise et de planification237 qui seront déléguées dans le reste du pays. Mais contrairement à d’autres villes, Jérusalem disposera d’un cadre de planification centrale et de règles de base238 qui assureront la conservation d’une part, du caractère saint de la ville et d’autre part, de sa qualité de foyer de la souveraineté israélienne. La planification stratégique Jérusalem, capitale d’Israël, ne dispose pas actuellement d’une vision stratégique pour son développement, qui lui rendrait son ancienne place de « cœur d’Israël » et de centre international de pèlerinage. La fuite et le dédain de Jérusalem ont commencé lorsque la vieille Ville a été livrée aux Jordaniens pendant la guerre d’indépendance239 . Ils se sont poursuivis lorsque le Mont du Temple a été cédé au Waqf jordanien pendant la guerre des Six jours. Ils continuent jusqu’à aujourd’hui et ont de nouveau transformé la capitale d’Israël en ville assistée et divisée. En fait, après la réunification historique de Jérusalem pendant la guerre des Six Jours, l’expansion de l’est et au nord de la frontière municipale de Jérusalem et la création de nouveaux quartiers, pendant de nombreuses années, le développement stratégique visionnaire a été presque complétement négligé. La ville a été abandonnée de fait aux fluctuations de sa croissance naturelle et des nécessités immédiates de la vie240 . Cette approche qui n’est pas trop gênante dans d’autres endroits et qui est souvent la plus efficace, ne peut pas s’appliquer à Jérusalem dont la population est divisée entre Juifs et Arabes, qui est négligée en termes d’infrastructures et qui se trouve à l’intersection des intérêts du monde entier. Voir le chapitre sur le logement.237 Un exemple mineur de cette question est la loi relative au célèbre revêtement de pierre de Jérusalem 238 depuis l’époque du Mandat britannique. 239 La triste chute de la vieille ville aux mains des Jordaniens lors de la guerre d’indépendance n’était pas le résultat d’une absence de choix, mais d’une priorité explicite. Même s’il est possible de discuter des difficultés du début de la guerre et de les interpréter d’une façon ou d’une autre, il n’y a aucun doute qu’il y avait une option militaire viable pour conquérir la ville à un stade opérationnel décisif de guerre. Il n’y a pas à argumenter à ce sujet. 240 La route Begin, l’élargissement de la route 1 et le tramway sont des exemples de réalisations pour faire face aux besoins immédiats de la vie plutôt que de planifications stratégiques à long terme. Le train rapide en direction de Jérusalem et l’autoroute 1 vers l’est, sont par contre des exceptions, dignes d’être mentionnées. Il est temps de se sentir propriétaires à Jérusalem et d’agir en conséquence, tout simplement parce que toute autre méthode est hors de propos et que Jérusalem nous appelle. Le grand Jérusalem et la métropole de Jérusalem Il faut regarder la réalité en face au lieu de tenter artificiellement de séparer Jérusalem de la population arabe qui vit en périphérie. Cela a pour résultat principal jusqu’à présent de susciter une migration massive de la population arabe vers la ville, par crainte d’en être éloigné ainsi qu’un étouffement du développement naturel de la ville. Si le programme politique de Zéhout se réalise, que la guerre s’achève et qu’il ne reste en Judée-Samarie qu’une population qui accepte la souveraineté d’Israël, la ville cessera également d’étouffer entre ses murs et ses limites. Jérusalem étouffe dans ses frontières municipales, et il est temps de les étendre et de permettre la création du grand Jérusalem, qui est de toute façon en train de naître. Au lieu de détruire la forêt de Jérusalem, comme proposait le plan Safdie pour remédier à la pénurie de logements, il est possible d’étendre et de multiplier le territoire municipal de Jérusalem vers l’est et le nord, et de fournir à la ville de vastes réserves foncières pour de nouveaux quartiers avec des infrastructures d’accès moderne. De plus, la région métropolitaine de Jérusalem devrait inclure Bethléem et le Gush Etsion au sud, Beit Shemesh et Modiin à l’ouest, Ramallah au nord, Jéricho et Maalé Adumim à l’est. Les infrastructures stratégiques « Pour résumer : celui qui est sanctifié par son épée détruit plus que son ami. Jérusalem a été détruite plus que tout autre, la terre de Judée plus que la Galilée, et malgré toutes ces destructions, elle demeure très bienfaisante » Nahmanide, Lettre de la terre d’Israël. Une route périphérique métropolitaine En plus du train rapide vers Jérusalem en cours de construction, qui modifiera de manière significative l’accessibilité de Jérusalem au Gush Dan et à la plaine côtière et permettra de vivre à Jérusalem tout en travaillant là-bas (et vice versa), il convient de promouvoir une route périphérique autour de Jérusalem, comme en ont généralement les grandes capitales du monde. Cette route périphérique créera et délimitera l’enveloppe extérieure de la ville et la reliera aux centres urbains environnants et reliera ces derniers entre eux. La route englobera Maalé Adumim à l’est de Jérusalem, Derekh Bethléem et le Gush Etsion au sud, Mevasseret Tsion à l’ouest et au-delà, Guivat Zeev et Nevé Yaakov en passant par Kfar Adumim pour la boucle de retour. Un terrain d’atterrissage à usage intérieur et un aéroport international Le terrain d’atterrissage à usage intérieur d’Atarot sera rouvert et élargi. Un aéroport international sera construit dans la vallée Hyrcania à l’est de la ville. Cet aéroport desservira la ville régulièrement, et en particulier permettra de faire face aux périodes d’afflux de touristes et de pèlerins, qui nécessitent une grande capacité d’accueil des voyageurs pour assurer un fonctionnement fluide. La nécessité d’un tel aéroport n’est surprenante que pour ceux qui n’observent pas la taille de la population qui habite déjà la métropole de Jérusalem. Il s’agit d’environ 2 millions d’habitants aujourd’hui, ce qui correspond à l’ensemble de la population du Gush Dan. La règle approximative en planification urbaine est qu’une population de deux millions de personnes justifie la construction d’un aéroport international près de la ville, surtout s’il s’agit d’une ville qui attire des vagues de touristes. L’amélioration de la route de la montagne et de la route entre Jérusalem et le Gush Dan Comme il est précisé dans le chapitre sur la planification stratégique de Judée-Samarie, l’élargissement de la route 60 au nord et au sud de Jérusalem et sa transformation en route interurbaine convenable au moins sur le tronçon entre Ariel et Hébron, la construction de la route 45 retardée depuis trente ans comme une alternative à la 443 et à la 1 qui est par nature nécessaire. Ces mesures stratégiques doivent être prises le plus rapidement possible pour faire cesser le retard de la croissance naturelle de la métropole de Jérusalem en raison d’infrastructures d’accès obsolètes. Les routes à l’est de la ville et l’accès à la Vieille ville Les infrastructures d’accès à Jérusalem-Est sont très défectueuses et ne permettent pas son développement. Cela est particulièrement vrai en ce qui concerne la Vieille ville, dont l’accès en voiture est presque impossible non pas parce qu’il n’y a pas d’espace pour les construire, mais parce que cela n’a pas bénéficié d’une réelle priorité. Cette situation ne permet pas la réalisation du potentiel de la Vieille ville en matière de touristes et de pèlerins et ne permet pas de transformer les abords de la Vieille ville en centre du pouvoir de la ville. Ces deux questions doivent être résolues. La cité du gouvernement « Sanctuaire du Roi, Ville royale, Debout, relève-toi de tes ruines ! », Chant « Lekha Dodi » de Rabbi Salomon Alkabetz. « C’est là que sont établis les sièges de la justice, les sièges pour la famille de David », Psaume 123. Pour le judaïsme, Jérusalem, n’est pas seulement le « sanctuaire du Roi » à savoir la ville sainte. Jérusalem est une ville royale, le siège du gouvernement israélien et de la justice israélienne. La position actuelle de la cité du gouvernement, de la Knesset et du siège de la Cour suprême à l’ouest de la ville est la conséquence de la division de la ville. La séparation complète entre la nouvelle ville moderne et ce que l’on appelle en Israël « le saint bassin » (la Vieille ville et les territoires adjacents) n’est pas saine pour l’État d’Israël. Zéhout fera en sorte d’y mettre fin. Un processus sur le long terme d’évacuation-compensation des habitants des zones adjacentes au Mont sera mis en œuvre, pour permettre le déménagement progressif de la cité du gouvernement et des symboles de la souveraineté vers la Vieille ville et le Mont du Temple241. Comme ce processus de « réhabilitation » est clairement juif, il faut s’attendre à ce que les sommes nécessaires à cet effet soient données dans une large mesure par le grand public, sachant que c’est déjà lui qui a fait don d’énormes sommes d’argent pour acheter la majorité du quartier de la Ville de David et qu’il a déjà des maisons et des zones entières de la Vieille ville. Les hôtels pour les pèlerins Chaque année, un million cinq cent mille de touristes viennent à Jérusalem et sont hébergés dans environ 10 000 chambres d’hôtel dans la capitale. Selon le rythme de croissance actuel, le secteur doublera dans les deux décennies. Le développement et la construction de Jérusalem comme centre spirituel doubleront et tripleront les prévisions actuelles et attireront des dizaines de millions de touristes et de pèlerins du monde entier. La ville doit se préparer à les absorber. Il s’agit d’un moteur de croissance énorme, qui remboursera rapidement les investissements privés dans des infrastructures hôtelières modernes et innovatrices. Le cœur de la ville : le Mont du Temple « Celui qui contrôle le Mont du Temple contrôle le pays », Uri Zvi Greenberg. Le Mont du Temple n’est ni un « bassin sacré » ni le « foyer du conflit religieux » pour le peuple juif. Le Mont du Temple est le lieu le plus sacré sur la terre. C’est le lieu choisi par le Dieu d’Israël pour apporter sa présence dans le monde, le physique et la métaphysique s’y rejoigne. C’est le lieu où Adam, le premier homme, a été créé. C’est le lieu où le patriarche Itzhak a été attaché. C’est le lieu où la vie et la nation ont été forgées. C’est le lieu où se trouvaient notre premier et notre deuxième Temple. La 241 Comme par le passé, depuis le roi David jusqu’au roi Hérode Agrippa II, dernier roi de la dynastie des Hasmonéens. 242 Phrase citée par beaucoup de personnes comme étant de lui. Il l’aurait dite immédiatement après la guerre des Six Jours et elle apparaît presque comme telle dans Sefer Ha amoudim (l’intégrale des écrits de Greenberg ont été publiés par l’Institut Bialik). Merci à Yéhuda Etsion, spécialiste de ses écrits et de ses enseignements, qui nous a adressé le texte. Plupart des prophéties concernant le retour à Sion se sont miraculeusement accomplies, les autres s’accompliront donc aussi en temps voulu. Le troisième Temple demeurera pour l’éternité sur le Mont du Temple. Le Mont du Temple est le cœur battant d’Israël. Le poète Uri Zvi Greenberg a joliment identifié comment notre emprise sur le Mont est un indicateur de la souveraineté israélienne sur tout le pays. Quand nous perdons notre emprise sur le Mont, le cœur est malade, le flux sanguin diminue et les organes s’affaiblissent. Lorsque le Mont est contrôlé de fait par le Waqf jordanien, Jérusalem est une nouvelle fois divisée et les villes d’Israël s’habituent à subir les attaques de missiles. Une ligne directe passe entre l’abandon du Mont et l’ébranlement de la légitimité même d’un État juif partout dans le pays. Cet ébranlement qui va aujourd’hui en augmentant dans les pays respectables et éclairés. Quand nous disons de fait que le Mont du Temple ne nous appartient pas, le monde par la voix de l’UNESCO le dit également et la légitimité de notre emprise sur le pays se dissout, il devient alors légitime de nous attaquer et notre légitimité à nous défendre nous est retirée. Ainsi, renoncer au Mont du Temple n’empêche pas la guerre, mais l’apporte. « La stratégie » des gouvernements d’Israël depuis la guerre des Six Jours, est le renoncement à la souveraineté sur le Mont du Temple et la transmission du « problème » aux générations futures. Cette « stratégie » a conduit à la dégradation continue du statut de la ville, à sa nouvelle division de facto et au transfert de la majorité des organes de la souveraineté vers le cœur de la capitale d’Israël, le Mont du Temple, à côté du Waqf jordanien. Aujourd’hui, dans les endroits où les enfants juifs jouaient en toute sécurité dans l’est de la ville, les Juifs n’entrent plus, il est impossible de construire une maison à Jérusalem sans l’approbation du Premier ministre et l’UNESCO transforme la politique sur le terrain d’Israël en résolutions internationales de principe et affirme qu’il n’y a aucun lien entre Israël et le Mont du Temple. La décision de remettre les clés du Mont du Temple aux Musulmans immédiatement après sa libération a été vendue comme de la sagesse politique, comme de la realpolitik de la part du ministre de la Défense Moshé Dayan. Mais la vérité est qu’il ne s’agissait pas d’une contrainte mais d’une stratégie. Déjà lors de la guerre d’indépendance, une stratégie délibérée a conduit à la chute du quartier juif et à la perte de la possibilité de libérer le Mont du Temple et toute la Judée-Samarie. Avant la guerre des Six Jours, Dayan était opposé, ainsi que les ministres du Parti national religieux, le Mafdal, à la libération de la Vieille ville, et même le commandant de l’unité des parachutistes qui l’a libérée, Motta Gur, était convaincu que bientôt le Mont du Temple serait rendu aux Jordaniens. « L’israélité » ne voulait pas de « tout ce Vatican » selon les termes de Moshé Dayan. Le pouvoir religieux ne voulait pas non plus du Mont du Temple qui fait passer la Torah d’une dimension religieuse personnelle diasporique à une dimension de culture nationale. Ce qui est la raison profonde de l’opposition des ultra-orthodoxes au retour des Juifs sur le Mont du Temple aujourd’hui. Il n’y a rien de plus anti « religieux » et d’anti-diasporique que le Mont du Temple. Jérusalem est une source de conflits d’identité interne au sein de la société israélienne. Le conflit est entre l’identité israélienne et l’identité juive. Le Mont du Temple a été cédé et la ville divisée parce que l’identité israélienne/religieuse fuit le retour à l’identité juive/culturelle. Le retour au le Mont du Temple est la connexion entre les cultures. Les Arabes ne sont pas la cause, les Arabes sont le moyen par lequel ce conflit interne s’exerce. Israël considère que le Mont du Temple est saint pour les Musulmans afin de s’éloigner de lui-même. Le résultat est une perte du fondement de la justification de notre existence dans le pays et le retournement de l’humanité contre nous. En considérant que le Mont du Temple est saint pour les musulmans, Israël se conduit lui-même à la guerre. Pas de Jérusalem, sans Mont du Temple. Seul Israël sera souverain sur le Mont du Temple par l’intermédiaire de la police israélienne et une garde spécialement créée sera établie pour le maintien de la sécurité, de l’ordre et de la sainteté du lieu243. Toutes les entités étrangères, avec ou sans uniforme, seront éloignées du Mont du Temple pour toujours. La politique de fait sur le Mont du Temple Le Mont du Temple est « aussi » un lieu saint Le Mont du Temple sera ouvert à la prière juive et sera placé au sommet de la liste des lieux saints juifs, dont il est absent jusqu’à présent, ce qui ne surprend que ceux qui ignoraient ce qui a été décrit ci-dessus. En vertu de la loi relative à la protection des lieux saints, il sera géré par le grand rabbinat ou par un organisme spécial en dérivant et créé pour cela qui pourra aussi réglementer l’arrivée des pèlerins et la prière juive sur le Mont du Temple dans le cadre de la loi juive et à des emplacements autorisés et les indiquer sur la place. Une synagogue sera construite sur le Mont du Temple selon les différents plans imaginés à ce sujet depuis des années. L’archéologie Le Mont du Temple sera ouvert à la recherche archéologique. Les dommages archéologiques causés par l’abandon du Mont du Temple au Waqf jordanien sont inestimables mais ce qui est fait ne peut être défait. 6 000 tonnes de terre du Mont du Temple contenant des vestiges archéologiques ont été délibérément détruites par le Waqf lors de la construction illégale de mosquées souterraines sur le Mont du Temple afin d’empêcher la découverte de preuves témoignant de son passé juif. La possibilité de parler de l’absence imaginaire de vestiges du Temple sur le Mont du Temple est le 243 Comme les placeurs et les vigiles de la Fondation pour l’héritage du Kotel qui travaillent sur l’esplanade du Mur occidental aujourd’hui. résultat d’une politique qui y interdit la recherche archéologique depuis 50 ans, ce qui oblige les archéologues à rechercher uniquement dans ses alentours244 . La souveraineté Le Waqf jordanien perdra tout statut politique sur le Mont du Temple. La police israélienne sera stationnée sur le Mont du Temple de façon permanente et non sur le côté comme cela se fait aujourd’hui. Les visites sur le Mont du Temple seront permises à tout moment de la journée sans restriction et le maintien de la sécurité des citoyens d’Israël sur le Mont du Temple sera assuré par les forces de police nécessaires à cela. L’accès des Juifs au Mont du Temple sera autorisé de toutes les portes du Mont du Temple sans réserve. Les Musulmans seront autorisés à continuer à prier dans la Mosquée Al-Aqsa (construite en premier lieu à l’extérieur du Mont sacré pour les Juifs). Il va sans dire que toute tentative pour transformer la prière en événement national sera traitée sévèrement. Les voies d’accès au Mont du Temple seront améliorées et complétement remplacées, comme il convient à un endroit qui est le « cœur du monde ». Le drapeau israélien sera à nouveau arboré en permanence sur le Mont du Temple, comme l’expression de la souveraineté israélienne absolue sur le lieu et comme l’expression de l’identité juive qui est sortie du Mont du Temple, qui y revient et qui en émane. Heureux celui qui attend et parvient et verra Ta lumière augmenter et se sentir inondé de tes aurores.